Le saviez-vous, femmes ? Dans un rapport sexuel, mes chères sœurs, il est du devoir de votre conjoint ou de votre époux de vous faire l’amour jusqu’à atteindre l’orgasme. Sans quoi, il a égoïstement comblé son désir sexuel et vous laisse dans la merde. Des femmes avec qui j’ai parlé ne savaient pas qu’il existait un tel plaisir sexuel – atteindre l’orgasme, le plus haut degré de satisfaction sexuelle entre deux amants. Quel crime odieux commis par des hommes qui se croyaient être de grands amoureux !

L’orgasme, lit-on dans www.wikipedia.com, c’est la réponse physiologique qui a lieu au sommet de l’excitation sexuelle. Il libère notamment deux neuropeptides, l’ocytocine et la prolactine, qui provoque une profonde sensation du bien-être. Chez l’homme, il est généralement associé à l’éjaculation ; chez la femme, à la rétraction du clitoris. D’autant plus, Sigmund Freud, dans sa théorie classique, distingue deux types d’orgasmes chez la femme. Le premier, chronologiquement, serait l’orgasme clitoridien, considéré comme basique ou infantile ; le second, l’orgasme vaginal, nécessiterait un apprentissage pour les femmes, et serait selon Freud « l’orgasme de la femme mature »

Des études modernes ont remis en question la théorie classique de Freud, le rôle prépondérant du clitoris est remis en question et les avis sont divergents sur la place du vagin dans le plaisir sexuel féminin. Selon une étude publiée en 2015 dans Journal of Sex & Marital Therapy, « seules 18, 4% des femmes parviennent à l’orgasme par la pénétration vaginale ».

Le Point G, nom donné en hommage au gynécologue allemand Ernst Grafenberg est que le vagin avec certitude possède des zones, le plus souvent sur sa paroi antérieure, dont la stimulation tactile est intensément érogène et peut conduire à l’orgasme. Actuellement, l’hypothèse la plus crédible est que la surface la plus sensible corresponde à la zone de contact avec la partie interne du clitoris.

Pourquoi l’orgasme échappe souvent aux femmes ? Toujours cette suscitée, c’est parce que la femme n’a pas reçu des caresses clitoridiennes de son partenaire avant la pénétration vaginale – la pénétration plombe un peu l’orgasme, une étude américaine confirme.

Certains psychiatres, comme Philippe Brenot, assurent qu’il n’existe qu’un seul organe du plaisir sexuel chez la femme, le clitoris, et un seul type d’orgasme féminin. Cet orgasme survient par stimulation directe ou indirecte du clitoris.

Quelle est la durée moyenne d’un rapport sexuel ? Aujourd’hui, 5.4 minutes !, selon une étude réalisée par un psychologue australien Brendan Zietsch dans 5 pays. L’écart entre le rapport le plus court (33 secondes) et le plus long (44 minutes) est important. Le temps idéal d’un rapport, selon le médecin Eric Corty, est entre à 3 à 7 minutes, les deux partenaires seraient satisfaits, et de 7 à 13 minutes, ils seraient comblés ; ensuite, ils s’ennuient !

Un rapport sexuel ne se borne pas à la pénétration, il faut faire monter le désir et préparer son corps à la jouissance en se concentrant davantage sur les sensations des zones érogènes (provenant des diverses parties du corps) plus que génitales (Doctissimo.fr). Les pieds offrent à vos partenaires des sensations inoubliables. Le clitoris, le vagin, la bouche, les lèvres, le haut de la nuque, les seins, les mamelons, etc…Pour les hommes, il y a trois zones intensément érotiques : le pénis, la bouche et les lèvres et j’ajoute les seins.

En conséquence, le goût de l’orgasme, plusieurs de nos sœurs, n’ont pas connu cette jouissance sexuelle. Quant à moi, je ne l’ai connu que récemment. Que nos frères désormais utilisent les zones intensément érotiques suscitées pour stimuler ce désir sexuel chez leur conjointe ! Et votre relation conjugale ou cette cohabitation libre apportera inévitablement plus d’amour, plus de fidélité et de sincérité parmi vos couples.

Clermise Clervil, LeNovateur#351

 

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